L'AS Corbeil-Essonnes fan de ping.

par LSA IDF / 4 janv. 2021 à 10:48 Mise à jour 4 janv. 2021 à 11:29
AS Corbeil-Essonnes Tennis de Table
-----------
Bruno Chamont, le président du tennis de table de Corbeil-Essonnes se met à... table
Bruno, quels sont les grands axes de votre section ?
Nous avons pris le parti de favoriser la diversité avec la diversité sur le plan des provenances sociales, le club rayonnant sur toute la ville au-travers
- des actions de co-éducation et de découverte sur la vingtaine d'écoles primaires de la ville (1200 élèves découvrent ainsi le tennis de table chaque année)
- des implantations satellites du club dans 4 écoles primaires, en plus de la salle principale
L'équiilbre de la mixité est-il aussi un objectif ?
En effet, avec 42 filles sur 147 licenciés fin 2019/2020, soit près de 30 % de filles, le club est le premier de l'Essonne au nombre de licenciées féminines depuis 7 saisons consécutives. Et un grand nombre d'actions sont lancées pour promouvoir l'égalité filles-garçons que notre sport permet. Les témoignages des filles du club comme ambassadrices participent de cette approche.
Ouverture aussi sur le tennis de table adapté ?
Que ce soit la diversité des aptitudes, nous nous efforçons de donner une place à chacun et chacune, sans créer de véritable découpage. Le club est affilié à la Fédération Française de Tennis de Table et à la Fédération Française du Sport Adapté, et les différentes populations de sportifs sont mixées au sein du club. Ainsi, nos compétiteurs sport adapté jouent également dans les championnats FFTT
Ils s'entraînent d'ailleurs ensemble, dans les mêmes entraînements club.
Ils ou elles témoignent ensemble, comme, par exemple, ont eu l'occasion de le faire, en tant qu'ambassadrices du club, Maëlys Feve (deux fois triple médaillée aux championnats de France Jeunes Tennis de Table FFSA) et Chloé Lefevre (3ème aux Championnats de France FFTT 2019)
Ils ou elles participent à l'encadrement du club, comme, par exemple l'ont fait récemment David Toumi et Nicolas Maillard qui ont encadré les stages jeunes de Toussaint et de Noël, faisnt partie des populations autorisées à jouer en ces périodes de restrictions liées à la crise sanitaire

HAUT